PERFORMANCE PHYSIQUE
ET MĂDITATION
Le mental construit le physique
Les athlĂštes vous diront quâune vraie progression nĂ©cessite autant une partie performance physique qu’une partie performance mentale. Alors que nous continuons d’Ă©voluer notre vision de la performance sportive optimale, la nĂ©cessitĂ© de travailler son mental est devenue de plus en plus importante.
 Pouvons-nous entraĂźner notre cerveau de la mĂȘme maniĂšre que nous entraĂźnons notre corps ?
Voyons ensemble les bienfaits pour la santĂ© d’une pratique rĂ©guliĂšre de mĂ©ditation associĂ©e Ă l’exercice physique. Â
L’entrainement quotidien est important, il faut sâimposer une routine standard pour des athlĂštes. Cependant seuls, ils peuvent rencontrer des limites que notre mental créé. Les chercheurs dans les performances sportives, ont Ă©tĂ© en mesure d’amĂ©liorer constamment les performances des athlĂštes, toujours plus rapides, plus forts et de rĂ©cupĂ©rer plus vite⊠Ce n’est pas facile pas vrai ! Depuis peu nous commençons Ă voir les effets positifs d’une pratique de mĂ©ditation cohĂ©rente sur la performance sportive.
La blessure est la hantise de tout athlĂšte car bien sĂ»r cela ralenti la progression. Dâailleurs que ce soit en rapport Ă une activitĂ© sportif ou autre, cela peut nuire Ă vos mouvements dans votre quotidien.
A partir dâun certain Ăąge on est plus susceptible de dĂ©velopper de l’arthrite dans des articulations autrefois blessĂ©es.
Il est primordial dâavoir un repos appropriĂ© pour rĂ©cupĂ©rer d’une blessure, mais la vitesse Ă laquelle nous rĂ©cupĂ©rons peut faire ou dĂ©faire notre capacitĂ© à «revenir sur le ring».
 Une étude publiée dans Neuroscience Letters a révélé que la transmission par le cerveau des signaux de douleur est diminuée grùce à la méditation et de pleine conscience.
Cette étude a également révélée que la méditation peut affecter le positivement des signaux neuronaux qui déterminent la sensation de douleur dans les processus contrÎlés par le cerveau :
Les chercheurs ont documentĂ© qu’une routine d’exercice douce ( par exemple,  le yoga) diminuait les symptĂŽmes arthritiques et augmentait la fonction cardiaque chez les participants. De plus, les auteurs d’un article de recherche publiĂ© en 2017 dans Frontiers in Human Neuroscience ont conclu qu’une pratique combinĂ©e de yoga et de mĂ©ditation pendant trois mois produisait des biomarqueurs inflammatoires rĂ©duits (et que l’arthrite est le rĂ©sultat de l’inflammation des articulations atteintes)
Les compĂ©titeurs connaissent bien cet Ă©tat de stress avant une compĂ©tition Ă diffĂ©rents niveaux Ă la fois physiques et Ă©motionnels. AmĂ©liorer la force mentale signifie ĂȘtre capable d’apprendre, de s’adapter et de rĂ©guler les Ă©motions. Câest bien connu, le stress peut ĂȘtre soulagĂ© par la mĂ©ditation.
Ătant donnĂ© que le stress est Ă©galement associĂ© Ă une inflammation accrue (comme dans la polyarthrite rhumatoĂŻde , ainsi que dans les troubles inflammatoires de l’intestin tels que la maladie de Crohn ), le soulagement du stress peut Ă©galement soulager les symptĂŽmes de ces troubles.
De nombreux autres articles de recherche mĂ©dicale suggĂšre le lien entre le stress et l’inflammation rĂ©active. Le fait de se lancer dans un rĂ©gime combinĂ© de mĂ©ditation et de remise en forme peut non seulement amĂ©liorer la qualitĂ© de vie globale des personnes souffrant de troubles inflammatoires, mais Ă©galement amĂ©liorer l’Ă©nergie.
Il est possible de lâamĂ©liorer de 2 façons :
Les domaines suivants sont des domaines dans lesquels des changements cognitifs positifs ont été produits par la méditation, liés à une attention / concentration accrue :
Booster notre connexion neuronale pour pouvoir accĂ©der rapidement aux informations en tant qu’athlĂšte est crucial. La formation de nouveaux neurones par la mĂ©ditation dans la rĂ©gion de l’hippocampe du cerveau – qui est liĂ©e Ă la concentration et Ă la mĂ©moire – a Ă©tĂ© montrĂ©e dans les rĂ©sultats d’une Ă©tude publiĂ©e dans Neurobiology of Learning and Memory.
Le but Ă©tait de suivre les participants qui faisaient de l’exercice sur un tapis roulant et une pratique de mĂ©ditation.Cela implique que l’augmentation du flux sanguin et de l’activitĂ© neurale des participants Ă©tait le mĂ©canisme contributif conduisant Ă une augmentation de l’attention et de la capacitĂ© de concentration.